Magenta et son jeune assistant, Carlo, reconstituent peu à peu le parcours tragique des deux marins. Les malheureux faisaient partie de l'équipage du «Black Mamba», un cargo de l'Helvetica Shipping Company. A Paris, Steuben, le patron de cette société, assure à Magenta que son bateau transporte de simples biens d'équipements vers l'Afrique du Sud. Catherine Langlois confirme les propos de Steuben... Plus que sceptique, Magenta décide de se rendre lui-même à Lutrech, la ville portuaire où doit arriver le «Black Mamba». Le journaliste constate de ses propres yeux la présence à bord du navire de conteneurs renfermant des matières hautement radioactives
La mort au bout des doigts
